O livrinho a que volto muitas vezes
« Dans un beau
jardin où les rayons d’un soleil automnal semblaient s’attarder à plaisir, sous
un ciel déjà verdâtre où des nuages d’or flottaient comme des continents en voyage,
quatre beaux enfants, quatre garçons, las de jouer sans doute, causaient entre
eux……
…. Le soleil s’était
couché. La nuit solennelle avait pris place. Les enfants se séparèrent, chacun allant,
à son insu, selon les circonstances et les hasards mûrir sa destinée,
scandaliser ses proches vers la gloire ou vers le déshonneur. »
A abrir e a fechar
Les Vocations, poema XXXI de « Le Spleen de Paris » de Charles Baudelaire
Nunca leio um só livro
de cada vez. Tenho sempre 2 ou 3 em curso, cuja leitura vou alternando de
acordo com a vontade do momento. De vez em quando vou à estante, escolho um
daqueles a que voltamos muitas vezes, abro ao acaso e releio meia dúzia de páginas.
Hoje voltei aos poemas em forma de prosa de Baudelaire, com o Spleen de Paris.
Abri o livro e caí no meio do poema XXXI Les Vocations. Adoro, simplesmente…